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die Maike


Premium (Pro), aus analogen Beweggründen

le passant

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Montmartre 8/2012

( Fotoapparat + Orwo NP20 + Rodinal )


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Kommentare 9

  • die Maike 6. Oktober 2012, 21:00

    Merci an alle, ganz besonders Paul für diesen gehaltvollen Beitrag!
    *knicks*
  • g.paul 23. September 2012, 23:15


    Les Passants

    Les passants passant, j'passe mon temps a les r'garder penser, leurs pas pressés, dans leurs corps lésés, leurs passés se dévoilent dans les pas sans se soucier

    Que, suspicieuse, à l'affût,
    je perçois le jeu de pan, leurs visages comme des masques me fait l'effet repugnant, que faire semblant, c'est dans l'air du temps.

    refrain :
    Passe, passe, passera
    la dernière restera

    L'enfant n'est fait que de fêtes,
    le fait est que l'effet se reflète à sa capacité de prendre le fait tel qu'il est
    sans se référer à un système de pensée dans sa tête.

    L'automne dèja, c'était l'été hier encore, le temps me surprend, semble s'accélérer, les chiffres de mon age, m'amènent vers ce moi rêver

    refrain :
    Passe, passe, passera
    la dernière restera

    Chaque mois se joue dans des cycles différents,
    c'est marrant ces remous qui m'animent à travers l'temps d'un état à un autre,
    j'oscille inexorablement

    Par les temps je cours à l'équilibre
    chaque jugement sur les gens me donne la direction à suivre
    sur ces choses en moi à changer
    qui m'empêche d'être libre

    Les voix se libèrent et s'exposent dans les vitrines du monde en mouvement,
    les corps qui dansent en osmose,
    glissent, tremblent, se confondent et s'attirent irrésistiblement

    Par les temps je cours à l'expression,
    chaque émotion ressentie me donne envie d'exprimer les non-dits
    et que justice soit faite dans nos pauvres vies endormies

    refrain :
    Passe, passe, passera
    la dernière restera

    Zu diesem Bild ist mir dann eher folgendes eingefallen:


    http://www.youtube.com/watch?v=QXiQCeDTh7c&feature=related

    MA SOLITUDE

    Georges Moustaki


    Pour avoir si souvent dormi
    Avec ma solitude
    Je m'en suis fait presqu'une amie
    Une douce habitude
    Ell' ne me quitte pas d'un pas
    Fidèle comme une ombre
    Elle m'a suivi ça et là
    Aux quatre coins du monde

    Non, je ne suis jamais seul
    Avec ma solitude

    Quand elle est au creux de mon lit
    Elle prend toute la place
    Et nous passons de longues nuits
    Tous les deux face à face
    Je ne sais vraiment pas jusqu'où
    Ira cette complice
    Faudra-t-il que j'y prenne goût
    Ou que je réagisse?

    Non, je ne suis jamais seul
    Avec ma solitude

    Par elle, j'ai autant appris
    Que j'ai versé de larmes
    Si parfois je la répudie
    Jamais elle ne désarme
    Et si je préfère l'amour
    D'une autre courtisane
    Elle sera à mon dernier jour
    Ma dernière compagne

    Non, je ne suis jamais seul
    Avec ma solitude
    Non, je ne suis jamais seul
    Avec ma solitude

  • Andreas T. Brey 23. September 2012, 22:56

    Schöner Blick über die Stadt mit dem Blickfang des Passanten unten in der Strasse.
    Interessant die Gestaltung mit der Schärfe auf die Lampe im Vordergrund.
    LG
    Andreas
  • Frank Keller 22. September 2012, 9:24

    Wo die Schärfe sitzt, das ist eben auch Teil des Gestaltens - sehr gut!

    By the way: Orwo, hats du die in Vorrat oder findest du die noch aus Beständen zu kaufen?

    LG von Frank und ein schönes WE
  • Artur Feller 22. September 2012, 0:01

    Es sind mehrere Passanten und ein großartiges Bild einer wundervollen Stadt - eines wunderbaren Viertels in dieser Stadt.

    Und weil es dann doch "Les Passants" heißen könnte und ich gerade mal wieder aktuell ZAZ höre und irgendwie über den Titel hinaus zu Deinen Bildern zu passen scheint:
    http://www.youtube.com/watch?v=sp3G50jBRuU&feature=related

  • Klaus Boizo 21. September 2012, 23:33

    herrlich. das hat unheimlich viel stimmung.
    lg
    klaus
  • die Maike 21. September 2012, 22:29

    Ohne den hätte ich das Bild auch nicht gemacht. Du wirst - abgesehen von Pariser Panoramabildern - wohl kaum ein Bild ohne irgendein menschliches Leben bei mir finden. Wenn´s sein muss, warte ich eben drauf, selbst, wenn´s mal wieder länger dauert :-)
  • Alfons Gellweiler 21. September 2012, 20:53


    Der Blickwinkel und die Schärfeebene zwingen dazu, das Bild zu erwandern. Der Passant unten zieht den Blick auf sich, aber er kann dort nicht verweilen, weil die Schärfe oben liegt.
    So wird es zum Bild einer ganzen Stadt.

    Das ist raffiniert.

    Grüße
    Alfons

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