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Navet et nervures

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alain sauvage

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Navet et nervures

Moyen mnémotechnique pour se souvenir du nom de ce rhopalocère : beaucoup de nervures, donc Piéride du navet. Encore faut-il savoir que c'est surtout vrai au printemps, la génération estivale présentant un dessous nettement moins contrasté. Il ressemble alors davantage à la Piéride de la rave, sans doute encore plus commune ; nettement plus grande, notamment la femelle, la Piéride du chou est partiellement migratrice. Toutes trois pondent sur les Brassicacées (anciennement les Crucifères), assez souvent dans les jardins potagers qu'elles fréquentent assidûment.